hoyabella
.Le cordyceps naturel
Il est comestible, donc ce n’est pas un médicament
Le cordyceps est un champignon comestible, et donc peut être considéré comme un complément alimentaire de tout premier choix, sans aucune contre-indication connue. Seule précaution importante, il faut consommer un cordyceps cultivé à l’abri de toute pollution par les métaux lourds et contrôlé en laboratoire.
on lui attribuait des propriétés similaires à celles du ginseng. Il était utilisé pour renforcer l’organisme après une extrême fatigue ou une maladie de longue durée ainsi que pour soigner l’impuissance, la neurasthénie ou le mal de dos.
En Occident, l’attention a été attirée sur le Cordyceps, au début des années 1990, lorsque le succès des athlètes chinois fut attribué à la consommation de ce champignon.
Plus de 30 années de recherches…
Le cordyceps naturel (Cordyceps sinensis sauvage) étant rare, des scientifiques chinois ont examiné son cycle de vie dans l’objectif de développer une technique permettant d’isoler le stratus fermentescible du Cordyceps sinensis. À la fin des années 1970, l’Institut des matières médicales de Beijing a initié un programme de 10 ans pour étudier le Cordyceps sinensis. L’un des résultats de ce programme a été l’isolation d’une variété Cs-4 (Paecilomyces hepiali Chen) du Cordyceps sinensis sauvage. Depuis son isolation en 1982, le produit de fermentation Cs-4 a été étudié en Chine de façon extensive. Plus de 2 000 patients souffrant de pathologies diverses ont ainsi été enrôlés dans des études cliniques. Leurs résultats indiquent que le Cs-4 est très efficace, sans danger et très similaire au Cordyceps sinensis sauvage.
Utilisé depuis de nombreux siècles en Chine et au Tibet, le Cordyceps sinensis a longtemps été un champignon réservé aux élites. Au Tibet, seul le dalaï-lama en consommait, tandis qu’en Chine, seuls l’empereur et sa cour avaient le droit de profiter de ses vertus. Le cordyceps est en effet un champignon rare mais il est aussi tout à fait singulier : il pousse en parasitant des larves d’insectes. Le mycélium se développe sur la larve, ce qui la tue. Ce n’est qu’ensuite que le champignon développe sa fructification. Cet être unique avait également la réputation d’être un puissant tonique sexuel, et même un tonique général, un peu à l’image du ginseng.
En 1757, le cordyceps a été distingué comme une substance médicinale de la pharmacopée chinoise, avec des indications plus larges : protection des poumons et des reins, interruption des hémorragies et réduction des
crises d’asthme. Depuis ce temps-là, et alors qu’on développait la culture du Cordyceps sur de la paille de riz, de nombreuses études ont vu le jour, surtout ces dernières décennies, en Chine, au Japon et aussi aux États-Unis.
Stimulant sexuel
Des études en 2004 ont démontré que la prise de cordyceps augmentait significativement le taux de testostérone aussi bien chez des souris matures que chez des souris immatures. Cela démontre donc la propriété de stimulant sexuel chez le mâle et de tonifiant musculaire. Cependant, le cordyceps n’a pas permis de développer les organes sexuels de façon plus importante. Si le champignon stimule la fonction sexuelle, et notamment l‘érection, il ne va pas, semble-t-il, développer la fertilité.
Protecteur du foie
Dans une autre expérimentation pratiquée sur des rats en 2003, on a donné à deux populations de rats une nourriture additionnée d’éthanol, afin de créer les conditions d’apparition d’une cirrhose. On donna à la première population de rat un placebo, et à la seconde, du cordyceps. On a ainsi constaté que le cordyceps permet de retarder l’apparition de la cirrhose, voire de l’éviter, et donc de jouer un rôle de protecteur hépatique.
Antioxydant
Une expérience relatée dans Life Science en septembre 2003 a démontré les propriétés anti-tumorales, antioxydantes et immunostimulantes d’un polysaccharide contenu dans le Cordyceps sinensis. Ce polysaccharide a été isolé mais pas complètement identifié, et est composé d’environ 40 % de glucose, 25 % de mannose et 35 % de galactose. Selon
cette expérience, il agit sur l’activité de la superoxyde dismutase ainsi que de la glutathion peroxydase. La prise de cordyceps permet donc de protéger des radicaux libres. D’après d’autres travaux, la substance concernée serait la cordicépine. Cette substance est également un bon protecteur des membranes cellulaires contre les
radicaux libres et favorise enfin l’activité cérébrale, et notamment la mémoire et la concentration. Le cordyceps est donc extrêmement utile pour ses effets anti-vieillissement
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Le lupus : maladie auto-immune
Mesures pour prévenir le déclenchement et l’exacerbation des symptômes "lupus" |
Consultez votre médecin avant de prendre un médicament. Ne prenez pas de médicament en vente libre sans les recommandations de votre médecin. Certains médicaments peuvent augmenter la sensibilité de la peau au soleil. C’est aussi le cas de médicaments vendus sur ordonnance, en particulier certains antibiotiques. Évitez aussi les produits (incluant les produits naturels) qui stimulent le système immunitaire. Pendant de nombreuses années, les médecins pensaient que la pilule contraceptive augmentait le nombre de poussées chez les femmes atteintes de lupus. Cependant, plusieurs études récentes montrent que la plupart d’entre elles peuvent bénéficier d’une contraception orale sans risque accru23. Les pilules qui contiennent de faibles doses d’oestrogène ou uniquement de la progestérone sont souvent privilégiées, car les oestrogènes sont susceptibles d’augmenter l’activité de la maladie. Quant au traitement hormonal de la ménopause, il pourrait augmenter le risque de poussée et doit être utilisé très prudemment chez les personnes atteintes de lupus. Parlez-en à votre médecin.
Pratiquez une technique de relaxation. Si l’on considère que le stress peut amplifier les symptômes du lupus, on comprend l'importance d'une bonne gestion du stress comme mesure préventive. Des études ont montré l’utilité de programmes de gestion du stress pour diminuer la douleur et améliorer l’état psychologique des patients atteints de lupus.19 Le tout est de choisir une technique qui vous plaît. Vous pouvez consulter, entre autres, les fiches Méditation, Réponse de relaxation, Training autogène et Biofeedback.
Veillez à bien dormir. Les National Institutes of Health des États-Unis recommandent de profiter de nuits de sommeil d'une durée d'au moins 8 à 10 heures pour aider à minimiser les douleurs causées par le lupus. En effet, la première arme contre les douleurs articulaires serait tout simplement le repos. Il existe plusieurs techniques pour aider à se détendre et favoriser le sommeil (exercices respiratoires, techniques mentales de relaxation, visualisation, méditation, etc.).
Adoptez une alimentation équilibrée. Certaines personnes ont remarqué qu’une mauvaise alimentation contribuait au déclenchement des poussées. Voyez aussi la section Autres approches.
Cessez de fumer. S’il est vrai que fumer est mauvais pour la santé, les personnes atteintes de lupus ont des raisons supplémentaires d’éteindre leur cigarette. D’abord, l’activité de la maladie est plus importante chez les fumeurs que chez les non-fumeurs.20 Ensuite, le tabagisme augmente le risque de développer une maladie cardiovasculaire, comme une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral. Or, les personnes atteintes de lupus sont déjà particulièrement susceptibles d’être atteintes d’une maladie cardiovasculaire. On estime ainsi que le risque cardiovasculaire est 50 fois plus élevé chez les jeunes femmes atteintes de lupus que dans le reste de la population21. On met donc toutes les chances de son côté en ne fumant pas, le lien entre le tabagisme et les troubles cardiovasculaires étant bien démontré.
Faites de l'exercice régulièrement. En plus d’améliorer le bien-être, l’exercice pratiqué régulièrement prévient les poussées de symptômes. En dehors des poussées douloureuses, variez les formes d’exercices pour en tirer le maximum de profit : des étirements pour soulager la raideur des articulations; des poids et haltères pour conserver la force musculaire; et un sport d’endurance (marche rapide, natation, cyclisme) pour redonner de l’énergie et améliorer la santé cardiovasculaire. Voir notre dossier Forme physique.
Protégez vos articulations. Lisez la fiche Arthrite (vue d’ensemble) pour des conseils préventifs antidouleur qui conviennent tout aussi bien aux personnes atteintes de lupus.
Recherchez le soutien social. Parlez de ce que vous vivez à vos proches ou à des gens qui vivent aussi avec le lupus (voir les Groupes de soutien). Cela permet souvent d’adopter une meilleure attitude devant la maladie et de se tenir informé des nouveaux traitements. Le tissu social peut être d’une grande utilité lorsqu’il s’agit de refaire ses réserves d’énergie et d’améliorer son bien-être.
Planifiez bien votre grossesse. Les femmes atteintes de lupus doivent bien choisir le moment de leur grossesse (après une période de rémission de 6 mois idéalement) et obtenir une surveillance médicale étroite au cours de celle-ci. Le lupus augmente le risque de fausse-couche et de naissance prématurée. On sait aussi que les symptômes ont tendance à réapparaître chez les femmes enceintes. Discutez de vos projets de grossesse avec votre médecin. |
Mesures pour prévenir les complications |
Par ailleurs, consultez rapidement votre médecin en cas de fièvre. Les médicaments utilisés pour traiter le lupus peuvent en effet augmenter le risque d’infection.
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Traitements médicaux du lupus
La recherche a permis de grands progrès dans le traitement des symptômes du lupus. Toutefois, il n’existe aucun remède définitif à cette maladie. Les médicaments permettent d’améliorer la qualité de vie en diminuant l’intensité des symptômes, en réduisant le risque de complications et en prolongeant l’espérance de vie.
Idéalement, il faut conduire le traitement du lupus avec le moins de médicaments possible et pour le temps le plus bref, pour calmer les poussées. Certaines personnes n’ont besoin d’aucun médicament, d’autres n’y ont recours qu’au besoin ou pendant de brèves périodes (poussées), mais nombreuses sont celles qui doivent suivre un traitement sur une longue période.
Traitements médicamenteux
Médicaments contre les douleurs (anti-inflammatoires non stéroïdiens). L’acétaminophène (Tylenol®, Atosol®) peut être utilisé pour calmer les douleurs des articulations, lorsque le lupus n’est pas trop grave ou que les poussées ne sont pas trop intenses. Les médecins déconseillent toutefois aux personnes atteintes de lupus de prendre de leur propre chef des antidouleurs en vente libre (de type aspirine, ibuprofène, naproxène...). Ces médicaments peuvent en effet augmenter le risque de complications du lupus, en particulier l’atteinte des reins. Cela peut prendre un certain temps pour trouver l’anti-inflammatoire qui convient et ajuster la dose avec le médecin.
Corticoïdes. Les corticoïdes, et en particulier la prednisone et la méthylprednisone, sont les anti-inflammatoires les plus efficaces pour traiter le lupus, lorsque la maladie touche plusieurs organes. Employée depuis le début des années 1960 contre le lupus, la prednisone (Deltasone®, Orasone®) est vite devenue un médicament essentiel pour améliorer la qualité de vie des malades. Elle aide à réduire l’inflammation et à contrôler les symptômes, notamment en cas de poussée. Cependant, les corticoïdes pris à fortes doses ou sur une longue période peuvent causer une série d’effets secondaires, dont l’apparition de bleus, de sautes d’humeur, de problèmes de vision (cataracte), une hausse de la pression artérielle ainsi qu’une fragilité des os (ostéoporose). La dose est finement ajustée avec le médecin de manière à obtenir le moins d’effets indésirables possible. À court terme, les principaux effets secondaires des corticoïdes sont une prise de poids et un gonflement du visage et du corps (oedèmes). L’usage de suppléments de calcium et de vitamine D contribue à réduire le risque d’ostéoporose.
Crèmes et traitements locaux. Les éruptions cutanées sont parfois traitées par des crèmes, le plus souvent à base de corticoïdes.
Médicaments anti-malariques. L’hydroxychloroquine (Plaquenil®) et la chloroquine (Aralen®) - des médicaments aussi utilisés pour traiter la malaria - sont efficaces pour traiter le lupus lorsque les anti-inflammatoires non stéroïdiens ne suffisent pas. Ils diminuent la douleur et le gonflement des articulations et permettent de traiter les éruptions cutanées. L’un ou l’autre de ces médicaments peut être pris du printemps à l’automne pour prévenir l’apparition des lésions causées par le soleil. L’hydroxychloroquine est aussi utilisée en traitement de fond pour prévenir les rechutes. Les effets secondaires principaux de ces médicaments sont les douleurs d’estomac et les nausées.
Immunosuppresseurs. Les agents immunosuppresseurs permettent de diminuer l’activité du système immunitaire dirigée contre ses propres organes et tissus. Ces médicaments puissants sont utilisés chez une faible proportion de personnes, lorsque la prednisone ne permet pas d'atténuer les symptômes ou lorsqu’elle cause trop d’effets secondaires. Ils sont nécessaires lorsque le lupus affecte le fonctionnement des reins ou du système nerveux. Les plus fréquemment utilisés sont le cyclophosphamide (Cytoxan®), l’azathioprine (Imuran®) et le mycophénolate mofétil (Cellcept®). Chez certains malades, le méthotrexate (Folex®, Rheumatrex®) peut aussi être utilisé à faible dose comme traitement de fond. Ces médicaments comportent aussi leur lot d’effets indésirables, dont les plus importants sont une plus grande susceptibilité aux infections et un plus haut risque de développer un cancer.
Autres
Perfusions d’immunoglobulines. Les préparations d’immunoglobulines (anticorps) sont obtenues à partir de sang de donneurs. Administrées par voie intraveineuse, elles ont une action anti-inflammatoire puisqu’elles neutralisent en partie les auto-anticorps, c’est-à-dire les anticorps anormaux qui se retournent contre l’organisme et sont en cause dans le lupus. Les perfusions d’immunoglobulines sont réservées aux cas de lupus résistants aux autres traitements, comme les corticoïdes.
L'opinion de notre médecin
Il n’y a pas si longtemps, le lupus était considéré comme une maladie rarissime, incurable, menant inévitablement au décès. Dans les dernières années, avec une meilleure compréhension de la maladie et de meilleurs traitements médicaux, le pronostic s’est considérablement amélioré. Malgré le fait que les personnes atteintes de lupus soient à risque accru de multiples conditions médicales associées souvent très graves, les patients peuvent espérer une longévité presque normale. Il s’agit d’une maladie rare : il vaut la peine d’être suivi par un médecin qui possède une expertise spécifique dans cette maladie pour être certain d’avoir accès à tous les meilleurs traitements disponibles. |
Approches complémentaires
Important. Les personnes atteintes de lupus ne doivent en aucun cas arrêter leur médication. La prise de suppléments et la modification du régime alimentaire doivent être supervisées par un médecin. |
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DHEA |
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Graines de lin, huiles de poisson. |
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Alimentation, thérapies corps-esprit. |
DHEA. Plusieurs études indiquent que la déhydroépiandrostérone (DHEA), une hormone stéroïdienne anabolisante sécrétée par les glandes surrénales (situées au-dessus des reins), aiderait à réduire le recours aux corticostéroïdes de même qu’à soulager les symptômes du lupus1-4. Des chercheurs ont en effet observé que les personnes atteintes de lupus avaient un taux anormalement bas de DHEA dans le sang13. Les conclusions d'une synthèse d'essais cliniques préliminaires et d'observations de cas (2002) indiquent qu'une dose de 200 mg par jour durant de 7 à 12 mois permettrait de diminuer le dosage de corticostéroïdes2. À cette dose, la DHEA réduirait également l'incidence des poussées et permettrait de soulager l'ensemble des symptômes de cette maladie.
En 2007, une synthèse des essais cliniques évaluant l’effet de la DHEA chez les personnes atteintes de lupus a conclu que cette hormone permettait d’améliorer la qualité de vie en cas de lupus léger à modéré, sans que son effet sur l’activité de la maladie soit réellement prouvé.
Cependant, des études évaluant l’innocuité de la DHEA à long terme sont nécessaires pour pouvoir recommander ce traitement aux personnes atteintes de lupus. La plus longue étude n’a en effet duré que 12 mois, et la DHEA prise sur de longues périodes pourrait augmenter le risque de problèmes cardiovasculaires.1,3
Dosage
L’emploi de la DHEA exige l'intervention d'un professionnel de la santé compétent.
Avertissement
La vente de même que l’importation de la DHEA sont strictement interdites au Canada, car cette substance est considérée comme anabolisante. Lire la fiche DHEA pour en savoir plus sur le statut de cette molécule controversée dans différents pays.
Huiles de poisson. Les acides gras oméga-3 contenus dans les huiles de poisson possèdent un effet anti-inflammatoire apte à soulager les symptômes de la polyarthrite rhumatoïde, une maladie parente du lupus. Plusieurs essais préliminaires, dont un petit essai clinique mené en 2008 auprès de 60 personnes atteintes de lupus, ont montré que des suppléments d’oméga-3 (3 g par jour) réduisaient l’activité de la maladie et aidaient à soulager les symptômes du lupus5-8. En outre, les huiles de poisson peuvent aider à réduire le risque cardiovasculaire qui est particulièrement élevé en cas de lupus. Des études à plus grande échelle devront être entreprises pour confirmer cet effet bénéfique.
Graines de lin. Les études tendent à démontrer que les graines de lin ont plusieurs effets bénéfiques sur la santé, attribuables à leur contenu en fibres solubles, en acides gras oméga-3 et en lignane. Un petit nombre d'études sur des animaux et d'essais cliniques sur des humains, souvent menés sans groupe témoin cependant, indique que les graines de lin pourraient soulager les symptômes des personnes atteintes d'une glomérulonéphrite consécutive au lupus9. Une étude croisée aléatoire portant sur 40 personnes atteintes de lupus a aussi indiqué que la prise de 30 g de graines de lin moulues par jour peut avoir un effet protecteur sur les reins.
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L'attente ,l'anxiété
Elle est là ,assise,cherchant une occupation,pour combler un vide, ses neurones ne cessent de la perturber; toutes besognes finies,mais en vain .
Dés l'aube se lève et se consacre aux travaux mènagers ,tantôt s'évadant de longs instants dans le jardin ,laissant flâner ses idées par ci et par là , tout en cueillant quelques fleurs ,parfois béchant une ou deux plantes,ou bien arrosant les unes et les autres et ramasse les escargots qui abiment ses plantes ; les fait evacuer dans les herbes à l'exterieur du jardin pour éviter de les massacrer ; souriant à certains oiseaux qui avec leurs siflements lui faisant lever la tète.
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Attisées par certains souvenirs trés amers ; fatiguées et usées par le temps,ces cellules nerveuses la font souffrir .
Il se fait tard, c'est la nuit ,son homme ne rentre toujours pas . Son visage se couvre de tàches de rougeur ,sa tension s'èléve malgrés elle .
De temps à autre elle lui téléphone, répond qu'il est en route ,mais il n'arrive toujours pas ,son anxièté augmente ,se demande ce qu'il est entrain de faire , se pose tant de questions.
Cependant l'homme est dans les bars ,vide ses poches, assouvit ses désirs pendant qu'elle se soucit de lui en préparant quelques pàtes à ses dépens pour s'occuper car la démence la guette.
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La mer est paisible,calme de l'autre coté de la méditérranée."Antib es" |
Il pleut aujourd'hui,je ne pourrai bricoler dans le jardin,où les narcisses commencent à s'épanouir,ya aussi quelques roses,et des iris bien jolis.
Souvenir de mon enfance,je l'ai toujours en tète cette récitation et bien d'autres aussi que j'aime !
Il pleut dans mon coeur comme il pleut sur la ville
quelle est cette langueur qui pènétre mon coeur
oh bruit doux de la pluie ,partout et sur les toits....
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